Quelle affaire!!!!

Pour la première fois de ma vie, je déteste mon travail. Deux des associés, surtout un, me pourrissent la vie. Je n’aime pas non plus le trajet d’une heure et demie, deux fois par jour. Trois heures de train sont bien deux heures de train de trop, à mon avis, pour se rendre à une corvée détestable.

Et encore, si le travail n’était pas si horrible, le trajet serait moins embêtant.

Je n’en peux plus.

Je suis à bout… fatiguée… épuisée… démoralisée…

Je ne vis plus, je survis.

Je voudrais avoir le temps et l’énergie de profiter de Fabrice, de revoir Julie, de fonder des amitiés, de prendre des photos et les travailler, de dessiner, d’écrire… Je n’ai même pas la force pour dormir.

Je vais écrire d’avantage demain.

Bon courage à vous, chers lecteurs.