Lettre de la belle-fille cadette
Quand j’ai écris à ma belle-fille aînée, essayant de lui expliquer comment je trouve son comportement troublant, échant, mal-poli, et mal élevé, sans pour autant dire ces mots, voici la gentille réponse que j’ai eu de sa douce sœur.
Comme si elle pourrait me pourrir la vie plus qu’elle ne l’est déjà !
Je ne leur proposait des choses que pour que leur père puisse passez du temps avec elles. Et j’ai proposé une sacrée variété de choses. Mais à l’evidence ni l’une ni l’autre n’a pris la peine de lire ce que j’avais écrit. Alors elle n’ont plus à s’inquiéter. Dès que possible, je quitte ce pays, et je ne les inviterais même plus à boire une tasse d’anti-venim si elles se font mordre par un serpent à sonnettes !
Malgré ses protestations, ce sont deux des filles les plus égoïstes, les plus mal polies, et les plus mal élévés que je n’ai rencontré de ma vie. Au moins lorsqu’il s’agit de leur comportement envers moi, et surtout en ce qui concerne l’aîné.
Alors, moi, mes efforts envers ces deux là, tout comme ceux envers d’autres memebres de la famille à Fabrice qui n’ont su que me faire des claques dans ma gueule, c’est fini. Avec tout ces gens-là, mes efforts sont fini. Je ne les inviterais jamais. Fabrice peut le faire s’il le veut. Je ne les contacterais que pour transmettre de petites nouvelles et des banalités, au nom de maintenir la soi-disant relation pour le bien de Fabrice, mon époux, et ses relations avec sa famille.
Moi, de ma part, je pense que j’ai fais plus d’un an d’effort, sans jamais recevoir le moindre geste d’amitié en retour des filles de Fabrice, de ses parents, de la plupart de sa famille, etc. ; sauf, bien sur de l’ex femme de Fabrice et de la copine de son frère. Pour ces deux femmes-là, j’en serais éternellement reconnaissante. Je ne sais pas comment j’aurais survécu autrement. Car on parle vraiment de survie et non pas de vie. Chaque matin, vous n’imaginerez pas ma tristesse à me réveiller toujours en France, toujours chez les parents à Fabrice, etc. Mais pour les autres, mieux vaut n’avoir aucune famille du tout qu’une famille pareille. Et moi, j’en ai plus que ras le bol !!!
Mes efforts – c’est fini. Un point, c’est tout !!!
Et voici la tendre lettre pleine de compassion et de gentillesse, que j’ai eu de ma belle-fille cadette, celle avec qui je pensais que la relation allait bien !
Eh oui, c’est ça, rêves-toujours, Danielle !
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Tu parles d'amitiés!
Comme si elle pourrait me pourrir la vie plus qu’elle ne l’est déjà !
Je ne leur proposait des choses que pour que leur père puisse passez du temps avec elles. Et j’ai proposé une sacrée variété de choses. Mais à l’evidence ni l’une ni l’autre n’a pris la peine de lire ce que j’avais écrit. Alors elle n’ont plus à s’inquiéter. Dès que possible, je quitte ce pays, et je ne les inviterais même plus à boire une tasse d’anti-venim si elles se font mordre par un serpent à sonnettes !
Malgré ses protestations, ce sont deux des filles les plus égoïstes, les plus mal polies, et les plus mal élévés que je n’ai rencontré de ma vie. Au moins lorsqu’il s’agit de leur comportement envers moi, et surtout en ce qui concerne l’aîné.
Alors, moi, mes efforts envers ces deux là, tout comme ceux envers d’autres memebres de la famille à Fabrice qui n’ont su que me faire des claques dans ma gueule, c’est fini. Avec tout ces gens-là, mes efforts sont fini. Je ne les inviterais jamais. Fabrice peut le faire s’il le veut. Je ne les contacterais que pour transmettre de petites nouvelles et des banalités, au nom de maintenir la soi-disant relation pour le bien de Fabrice, mon époux, et ses relations avec sa famille.
Moi, de ma part, je pense que j’ai fais plus d’un an d’effort, sans jamais recevoir le moindre geste d’amitié en retour des filles de Fabrice, de ses parents, de la plupart de sa famille, etc. ; sauf, bien sur de l’ex femme de Fabrice et de la copine de son frère. Pour ces deux femmes-là, j’en serais éternellement reconnaissante. Je ne sais pas comment j’aurais survécu autrement. Car on parle vraiment de survie et non pas de vie. Chaque matin, vous n’imaginerez pas ma tristesse à me réveiller toujours en France, toujours chez les parents à Fabrice, etc. Mais pour les autres, mieux vaut n’avoir aucune famille du tout qu’une famille pareille. Et moi, j’en ai plus que ras le bol !!!
Mes efforts – c’est fini. Un point, c’est tout !!!
Et voici la tendre lettre pleine de compassion et de gentillesse, que j’ai eu de ma belle-fille cadette, celle avec qui je pensais que la relation allait bien !
Eh oui, c’est ça, rêves-toujours, Danielle !
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bonjours
voila je ne suis pas interesser parce que tu me propose a moi et l.
oui et la ses moi j qui parle : je ne veus pas te faire de mal , mais si se que je vais te dire tu le prend mal et bien , alors tu ne comprend pas .
1_ l est ma soeur alors je n'accepte pas que tu lui est dit des chose comme : mal polit ou autre chose . ok .
2_ tu me connait tres mal je peus etre blessentte defois mais la je ne le serais pas , sauf si tu continue a envoyer des mails comme sa a ma soeur .
3_ l est une soeur adorable alors tu as aucun drois a mon avis de lui envoyer mal polis ou autre chose car si tu veus la faire souffrir et bien moi ses toi que je vais faire souffrir si tu veus jouer a sa et bien je vais te pourir la vie .
bon bas voila ses fini je te demanderais de repondre que a moi car maman et l ne savent pas que je t'envoie un mail avec des nouvelles comme celle la
avec toute mon amitier j.
Tu parles d'amitiés!
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