Nouvelles de Dimanche
J’espère que tout va bien et que tu as passé un bon week-end, ainsi que les votres. Ici ça va très bien, mais il fait un peu chaud pour le mois de novembre.
J’ai eu un pré-entretien de travail avec l’un des doyens de l’école militaire où je travaillais avant de me marier avec Fabrice. Il va essayer de pousser mes candidatures pour 4 postes différents dans l’espoir de me faire rentrer de nouveau dans l’école. Je peux te dire que, si ça marche, je ne partirais plus jamais de ma propre volonté !! Comme par hasard, le doyen en question s’agit d’une connaissance que j’avais fait la première fois que je suis allée à l’institut de Monterey. Nous avons parlé environs une heure, une heure et demi, et je croise mes doigts….
Autrement, la semaine prochaine, je vais passer un examen pour travailler dans le service de renseignements du bureau du shérif du comté de Monterey. J’aimerais autant travailler où je travaillais auparavant, mais n’importe quel travail est mieux qu’aucun. Surtout en ce moment, entre les problèmes économiques du pays et nos problèmes économiques à nous deux, avec les allers et retours de Fabrice, l’hôtel, etc. Ce n’est pas du tout évident.
Il faut dire que les 20 mois que je suis mariée avec Fabrice doivent bien être les 20 mois le plus difficile de ma vie d’adulte. Je suis presque certaine qu’il en est de même pour lui. Et on n’en est pas encore sortis de l’auberge. Notre relation a pris un sacré coup, mais pour le moment nous essayons de persévérer pour la sauver. Elle n’a vraiment pas eu l’occasion de prospérer. Et nous n’avons pas eu l’occasion de profiter ni de notre vie, ni de notre couple, ni de la vie en générale. Et ce n’est pas fini. Mais nous gardons l’espoir que nous commençons à remonter la pente et que l’on trouvera ce qu’il nous faut pour se construire une vie paisible et chaleureuse.
Au moins pour le moment, nous avons pu échapper à Faremoutiers et à l’hiver qui commençait là-bas. Je m’attendais à ce qu’il fasse frais ici comme d’habitude au mois de novembre, mais il fait très chaud et il y a un très beau soleil. Je passe mes matins et débuts d’après-midi à chercher du travail, et nous nous promenons en fin d’après-midi lorsqu’il fait un peu moins chaud.
Nous avons trouvé un hôtel dans lequel nous pouvons rester plusieurs semaines. Alors ainsi j’aurais au moins de quoi me loger et un lit pour dormir quand Fabrice retourne en France pendant 3 longues semaines la semaine prochaine. J’ai peur d’avoir tout à faire sans lui, sans beaucoup d’argent, sans voiture, etc. La plupart de mes amis d’ici vivent ailleurs maintenant. Comme ce sont des gens que j’ai rencontrés en faisant ma maîtrise, c’est normal ; ils sont partis de pars le monde vivent leurs vies à eux. Mais il me reste deux ou trois connaissances, et surtout, le territoire m’est familier, et je me sens chez moi dans cette partie du monde. Ça fait toute la différence pour quelqu’un de timide et de peureuse comme moi !
Alors, voilà les nouvelles de ce dimanche.
J’ai eu un pré-entretien de travail avec l’un des doyens de l’école militaire où je travaillais avant de me marier avec Fabrice. Il va essayer de pousser mes candidatures pour 4 postes différents dans l’espoir de me faire rentrer de nouveau dans l’école. Je peux te dire que, si ça marche, je ne partirais plus jamais de ma propre volonté !! Comme par hasard, le doyen en question s’agit d’une connaissance que j’avais fait la première fois que je suis allée à l’institut de Monterey. Nous avons parlé environs une heure, une heure et demi, et je croise mes doigts….
Autrement, la semaine prochaine, je vais passer un examen pour travailler dans le service de renseignements du bureau du shérif du comté de Monterey. J’aimerais autant travailler où je travaillais auparavant, mais n’importe quel travail est mieux qu’aucun. Surtout en ce moment, entre les problèmes économiques du pays et nos problèmes économiques à nous deux, avec les allers et retours de Fabrice, l’hôtel, etc. Ce n’est pas du tout évident.
Il faut dire que les 20 mois que je suis mariée avec Fabrice doivent bien être les 20 mois le plus difficile de ma vie d’adulte. Je suis presque certaine qu’il en est de même pour lui. Et on n’en est pas encore sortis de l’auberge. Notre relation a pris un sacré coup, mais pour le moment nous essayons de persévérer pour la sauver. Elle n’a vraiment pas eu l’occasion de prospérer. Et nous n’avons pas eu l’occasion de profiter ni de notre vie, ni de notre couple, ni de la vie en générale. Et ce n’est pas fini. Mais nous gardons l’espoir que nous commençons à remonter la pente et que l’on trouvera ce qu’il nous faut pour se construire une vie paisible et chaleureuse.
Au moins pour le moment, nous avons pu échapper à Faremoutiers et à l’hiver qui commençait là-bas. Je m’attendais à ce qu’il fasse frais ici comme d’habitude au mois de novembre, mais il fait très chaud et il y a un très beau soleil. Je passe mes matins et débuts d’après-midi à chercher du travail, et nous nous promenons en fin d’après-midi lorsqu’il fait un peu moins chaud.
Nous avons trouvé un hôtel dans lequel nous pouvons rester plusieurs semaines. Alors ainsi j’aurais au moins de quoi me loger et un lit pour dormir quand Fabrice retourne en France pendant 3 longues semaines la semaine prochaine. J’ai peur d’avoir tout à faire sans lui, sans beaucoup d’argent, sans voiture, etc. La plupart de mes amis d’ici vivent ailleurs maintenant. Comme ce sont des gens que j’ai rencontrés en faisant ma maîtrise, c’est normal ; ils sont partis de pars le monde vivent leurs vies à eux. Mais il me reste deux ou trois connaissances, et surtout, le territoire m’est familier, et je me sens chez moi dans cette partie du monde. Ça fait toute la différence pour quelqu’un de timide et de peureuse comme moi !
Alors, voilà les nouvelles de ce dimanche.
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