Lettre à une Belle-Mère
Lettre à une belle-mère
Je tiens à t’expliquer pourquoi je n’ai plus envie de recevoir de tes mails en ce moment.
Je te dis cela par amour et respect pour toi, et j’espère que tu le prendras dans cet esprit, même si je ne m’y attends pas du tout.
Malgré tout, je vous aime toi et ton mari. Je rêve toujours d’avoir une meilleure relation avec vous. J’aimerais vous recevoir, comme on l’avait prévu. Mais je n’entends que les portes me claquer au visage à chaque fois que j’essaye de vous parler, donc je n’en peux plus. Je sais très bien, trop bien, ce que sera ta réaction. C’est malheureux, quand-même.
Je vais débloquer ton adresse mail. Ainsi si tu le veux, tu pourras m’écrire. Mais je t’en prie, ne le fait QUE si tu veuilles sincèrement essayer de nouveau et donner sincèrement une nouvelle chance à notre relation belle-mère—belle-fille.
Ne t’inquiètes pas, par contre. Je ne m’attends pas de recevoir de réponse ou de nouvelles de toi. J’ouvre la porte de la possibilité, c’est tout.
Merci.
Je tiens à t’expliquer pourquoi je n’ai plus envie de recevoir de tes mails en ce moment.
Je te dis cela par amour et respect pour toi, et j’espère que tu le prendras dans cet esprit, même si je ne m’y attends pas du tout.
- J’ai été déçue de toi et de ton mari depuis mon arrivée en France.
- Tu n’as pas voulu croire que nous nous sommes mariés. Je sais que Ton fils t’a raconté des conneries. Je ne sais pas pourquoi.
- Vous êtes partis 2 heures avant que je n’arrive au lieu d’attendre me recevoir et me rencontrer.
- Lorsque nous étions chez vous, je devais supporter des réflexions, des rabaissements et des critiques en quasi-permanence.
- J’ai trop entendu de votre part comme réflexions, rabaissements et critiques de vos petits-enfants.
- Je ne trouve pas du tout normal que vous faites de telles différences entre non seulement vos 3 fils mais aussi, et ce qui est encore pire, entre vos petits-enfants. C’est à cause des réflexions, de ces différences, et de la méchanceté que certains petits-enfants ne viennent pas vous voir. Ces derniers non seulement n’en ont aucune envie de vous voir, mais en plus vous n’avez même pas la politesse de les inviter chez vous. Il ne faut pas s’étonner que les gens refassent leurs vies sans vous lorsque vous les traitez mal.
- Tout en te plaignant de ce que les parents à ton mari t’ont fait subir, tu m’as fait la même chose, sinon, vous m’aviez traité plus mal qu’eux ils t’ont traitée.
- Ton mari a battu ma chienne et s’en est vanté.
- Ton mari a mis les chiens dans le garage dès notre départ en février dernier, ce qui a fini par tuer Ion. C’est parce-qu’il n’a pas réussi à tuer Chanel que vous l’avez fait revenir aux US que 2 ou 3 semaines avant que nous, on retourne en France.
- Tu n’as pas compris que les médicaments que je prends pour ne pas paniquer dans l’avion me font dormir. Donc tu t’es fâché de ne rien du tout, parce-que j’étais trop fatiguée pour aller cueillir des fraises.
- Lorsque je suis allée en Bretagne, non seulement tu as fouillé dans nos affaires, non seulement que tu as pris des photos de notre linge sale, mais tu as eu le culot de prendre le fer à repasser antique que Jeanne m’a offert et que je faisais curer dans de l’huile, mais en plus, tu as osé prendre le fer et le mettre dans le linge (ainsi mettant de l’huile sur nos vêtements) pour continuer tes photos. Tu étais tellement entêtée à me faire du mal et à justifier tes assertions à mon égard que tu ne t’es arrêté à rien pour me rabaisser. Tu n’as même pas pensé au fait que nous n’avions ni placard, ni armoire pour mettre nos affaires, et que l’on vivait donc des valises et des cartons ?
- Tu me traite de toutes sortes de noms sans connaître la vérité. Tout du long de notre séjour chez toi, c’est moi qui faisais le ménage, et ceci, tous les jours. C’est moi qui faisais la lessive, etc. Je ne le faisais pas devant toi, et je ne m’en vantais pas. Je ne voyais pas de raison d’annoncer tout geste que je faisais. Je ne suis pas du tout stupide, et comme je sais que vous me détestez, je ne vois pas pourquoi je vous aurais raconté mon moindre geste.
- Ton mari n’a pas pu fermer sa gueule, préférant constamment me faire de réflexions inappropriés et se vanter de ses exploits sexuels. Ce que moi j’ai trouvé tout à fait déplacé et ce qui m’a vraiment fait te plaindre. Je ne sais ni pourquoi ni comment tu as supporté un tel homme pendant 40 ans.
- Maintes fois, j’ai demandé à ton fils de vous parler de ces problèmes. Il n’a jamais voulu, préférant ajouter au mal que vous m’aviez fait que de vous fâcher ou vous contrarier. Mais son choix m’a fâchée davantage, ajoutant de l’insulte à l’injure, et m’a fait vous en vouloir encore plus. Et son choix m’a aussi complètement démoralisé. Ce qui l’a fait m’agresser physiquement plutôt que de traiter des problèmes avec vous. Suite à cette agression, nous sommes allées chez le médecin, qui a du mettre Ton fils sous traitement psychiatrique pour l’aider à se contrôler et à faire face à ses sentiments de bourreau. J’ai des photos des bleus qu’il m’ait faits, si tu ne veux pas me croire.
- Et maintenant, je trouve que tu continues à essayer de manipuler ton fils et de me nuire. Je ne comprends pas du tout pourquoi tu m’en veuille à un tel point. Si tu avais été gentille, si ton mari avait su tenir sa langue, si vous aviez démontré le moindre geste gentil envers moi, tout aurait été tellement différent.
- Actuellement, ton fils n’a même pas envie de vous parler. Il n’a pas envie de vous voir. C’est moi qui, tout en étant fâchée de vous, de toi, c’est moi qui l’oblige de vous écrire, de vous appeler, etc. Tout comme je le fais pour ses filles.
- Et puis, tout ceci est sans parler de la connerie et de la méchanceté qu’est la mère d’A. Celle-ci est une femme qui a tellement peu d’amour propre qu’il faut qu’elle se mêle des affaires de des vies de personnes qu’elle ne mérite jamais de rencontrer. Elle est si manipulatrice qu’elle gâche tous ceux qui font parti de la famille de sa fille, tout en te faisant si peur de la contrarier que tu fais tout ce qu’elle t’oblige. Cette femme est de la pourriture même, et ne mérites même pas de prononcer mon nom. Je ne peux pas te dire à quel point je suis déçue que tu te laisse faire avec elle tout en n’ayant rien à faire des enfants de ton fils aîné. Ce n’est vraiment pas normal, ni ce que tu laisses cette femme faire, ni votre comportement avec les filles de ton fils.
Malgré tout, je vous aime toi et ton mari. Je rêve toujours d’avoir une meilleure relation avec vous. J’aimerais vous recevoir, comme on l’avait prévu. Mais je n’entends que les portes me claquer au visage à chaque fois que j’essaye de vous parler, donc je n’en peux plus. Je sais très bien, trop bien, ce que sera ta réaction. C’est malheureux, quand-même.
Je vais débloquer ton adresse mail. Ainsi si tu le veux, tu pourras m’écrire. Mais je t’en prie, ne le fait QUE si tu veuilles sincèrement essayer de nouveau et donner sincèrement une nouvelle chance à notre relation belle-mère—belle-fille.
Ne t’inquiètes pas, par contre. Je ne m’attends pas de recevoir de réponse ou de nouvelles de toi. J’ouvre la porte de la possibilité, c’est tout.
Merci.
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